21 avril 2013
Nuage sans poussière
La couleur est un monde dont on ne connait pas...
Vois comme tout est sombre, tout a besoin de toi.
Par delà vérité qu'on nomme sans comprendre, apprendre à appeler, assouplir la matière.
La liberté même souple s'effrite sur la terre
Le regard vaillant s'écoule silencieusement.
Jamais seul crois tu, mais lâche un temps, tu sauras de nouvelles naissances.
Lave la tranchée de la voix, ce rire de dur crystal,
Ce manteau de poussière, les carrés condensés,
plus la peine de mots, ta paume seule retient la lumière.
La douleur sont les arbres qui penchent à cause du vent, le lie de la rivière, les doutes de tes serments.
Fragile finitude.
Ailleurs, porte toi, découvre comme tu bas.
Le monde est une couleur,
que tu vois.
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